Mérelle.net, l'aventure intérieure

19 - Régression

Auqmn : Un crâne sur ma fenêtre

Voilà plusieurs jours que je n'ai pas soumis de rêve à votre sagacité :-))) Je me rattrape.

Premier rêve :

Je viens d'arriver chez mes parents, en France. La nuit est tombée, je suis seule dans la maison, tranquille. Je lis. Philos, la chatte de mes parents, vient miauler à mon côté. Je pense qu'elle veut me dire qu'elle a faim. Je constate qu'elle a des croquettes dans son écuelle. Je lui sers un yogourt, mais elle le dédaigne après l'avoir reniflé et s'en va.

Le matin suivant, en ouvrant les volets de ma chambre, je découvre qu'il a neigé. Je suis ravie et j'ai l'impression que la neige est tombée spécialement pour moi, pour fêter mon retour à la maison. J'aperçois non loin de ma fenêtre un voisin avec un jeune homme. Tous deux sont immobiles et contemplent le paysage. Curieusement il n'y a pas de neige, mais de l'herbe, là où ils se tiennent. Ils ne me remarquent pas bien que je sois très proche. Je saisis le crâne qui est sur mon bureau (j'ai vraiment un crâne sur mon bureau dans la vie réelle), le dépose bien en vue sur l'appui de la fenêtre et me mets en retrait.

Plus tard dans la matinée, je m'étonne d'être en France car je n'étais pas censée quitter le Canada avant l'été prochain (réalité). Or nous sommes en décembre et je sais que mon séjour va durer 2 semaines. Je me demande comment j'ai pu dégager 2 semaines de congé de mon emploi du temps.

Je suis ensuite occupée à examiner plusieurs sacs à dos. Malheureusement aucun ne me convient parfaitement. Soit la forme, soit la texture n'est pas à mon goût.

Deuxième rêve (je place le récit à part, mais j'ai l'impression qu'il s'est déroulé au milieu du premier).

Je suis un homme, engagé dans une carrière universitaire, et je me rends sur le lit de mort de mon 'maître'. Je sais que je suis son 'héritier' et je vais poursuivre ses travaux. Il veut me transmettre quelque chose d'important avant de mourir. Il prononce le nom 'Théo'. je crois tout d'abord qu'il fait allusion à mon grand-père, un médecin qui portait ce prénom et qui l'aurait soigné dans sa jeunesse (rien à voir avec un grand-père réel). Je pense que c'est à cause de mon grand-père que le Maître m'a pris pour disciple. Mais en fait ce n'est pas du tout cela. Ce 'Théo' n'est pas mon grand-père, et quant au médecin qui l'a soigné, ce n'est 'ni Théo, ni Diri, mais Pierre Janet' (je cite le vieil homme). J'ai l'impression d'avoir lu cette réplique, au point que je ne suis pas sûre de l'avoir rêvée. Théo et Diri sont deux médecins célèbres, et d'ailleurs je me rappelle (en rêve) avoir déjà lu quelque chose au sujet de ce Diri.

Plus tard, je vois l'université d'en haut, je la survole du ciel. C'est un complexe immense et noir au milieu de la ville. Je cherche à distinguer l'endroit où je travaille dans cet enchevêtrement de bâtiments. Je finis par me repérer et je désigne à quelqu'un l'aile où se trouve mon labo.

A première vue, cette 'université' paraît chaotique, mais il y a un ordre sous-jacent et l'architecture a une certaine unité qui produit une harmonie en dépit de la profusion et de la variété des formes. Cela me fait penser à la fois à un cerveau et à une structure imposante créée par des insectes, grouillant de vie invisible. La couleur dominante est le noir, un noir mat, froid à l'extérieur mais chaud à l'intérieur. L'université est composée de multiples petits bâtiments accolés. A plusieurs endroits se dressent des demi-arches, qui évoquent des cornes. Leur structure métallique interne est apparente. Mon labo est à la base d'une de ces 'cornes'.

Christian : Pitié Madame ! Pitié Madame ! Pitié !

Encore un rêve ! Ayez pitié de nous, pauvres pécheurs !

Pas les travaux forcés à perpette ! non pas ça ! pas ça !

Nous ce qu'on veut, c'est un peu de tendresse, oui de la tendresse ... bordel !

:-)))))))))))))))

Alain : Tu es guérie ?!

Enfin à la maison, tu commences à te retrouver toi-même. Tu es en contact avec le chat, tu retrouves ta joie de vivre, libre de toute contrainte… La tête est moins lourde, libérée et revenue à sa plus simple expression, à l’essentiel. Tes efforts des derniers rêves n’auront pas été inutiles, tu hérites d’un bagage nouveau et guérissant au niveau de l’âme. Tu as besoin d’un nouveau sac pour mettre tout cela.

La corne, symbole qui offre l’ambivalence d’être à la fois masculine par sa pénétration et féminine par la forme creuse en dedans. Noire au dehors et chaude et lumineuse au dedans ; image du Yin et du Yang, une forme de totalité semble ici être atteinte.

Tu as une vue d’ensemble (aérienne) de toute cette activité cérébrale, mais maintenant tu peux te situer. La corne est aussi ta force guerrière qui a triomphé. Tu as trouvé l’ordre dans le chaos…

(Est-ce que Dieu est dans ton rêve; Théo, Di..ri. Cette neige qui fait enfin le lien entre le ciel et la terre comme un cadeau, comme une grâce qui t'est accordée?)

David : Sur le seuil ...

J'aime beaucoup ce qu'Alain t'a écrit, mais quitte à le réfréner un peu, je dirais que tu es sur le seuil...

> Je viens d'arriver chez mes parents, en France. La nuit est tombée, je suis seule dans la maison, tranquille. Je lis. Philos, la chatte de mes parents, vient miauler à mon côté. Je pense qu'elle veut me dire qu'elle a faim. Je constate qu'elle a des croquettes dans son écuelle. Je lui sers un yogourt, mais elle le dédaigne après l'avoir reniflé et s'en va.

Tu es chez toi (chez tes parents MAIS seule et tranquille). Philos, la chatte, (la vie indépendante?) miaule. Tu penses qu'elle a faim (veut vivre?). Elle a des croquettes dans son écuelle. (Pouahh des croquettes (Conglomérats industriels de restes de mauvaises viandes ou de poissons pas frais! :-) )).

Tu ne sais pas encore quoi lui donner... un yogourt? Elle le renifle puis le dédaigne... (et si tu essayais du mou, bien frais et saignant comme les chats l'adorent?) Donne - lui du mou...

> Le matin suivant, en ouvrant les volets de ma chambre, je découvre qu'il a neigé. Je suis ravie et j'ai l'impression que la neige est tombée spécialement pour moi, pour fêter mon retour à la maison.

Tu es dans un élément que tu connais bien. Tu es toujours toi-même (au sens positif, tu n'as rien perdu). Mais...

> J'aperçois non loin de ma fenêtre un voisin avec un jeune homme. Tous deux sont immobiles et contemplent le paysage. Curieusement il n'y a pas de neige, mais de l'herbe, là où ils se tiennent.

Tu aperçois le monde... et là, curieusement (c'est nouveau pour toi) il n'y a pas de neige... (il fait moins froid)

> Ils ne me remarquent pas bien que je sois très proche. Je saisis le crâne qui est sur mon bureau (j'ai vraiment un crâne sur mon bureau dans la vie réelle), le dépose bien en vue sur l'appui de la fenêtre et me mets en retrait.

Ils ne te voient pas. Pourtant, TU ES PROCHE. Tu leur présentes ton crâne et tu te mets en retrait. Tu leur demandes une réponse. 'Et comme ça, vous me voyez?'

(To be or not to be? Suis-je ou ne suis-je pas? ) (et si tu regardais ton crâne droit dans les orbites et que tu lui disais: 'Je Suis!!! avant d'aller les rejoindre dans l'herbe?)

>Plus tard dans la matinée, je m'étonne d'être en France car je n'étais pas censée quitter le Canada avant l'été prochain (réalité).

Tout s'est passé très vite... (un peu mon n'veu! :-))) )

Deuxième rêve.

Tes acquis, tu les as obtenus en simultanéité avec ce qui suit...

Je suis un homme, engagé dans une carrière universitaire,

Tu as maintenant un savoir certain et "je me rends sur le lit de mort de mon 'maître'".

Ton surmoi à l'agonie? (il fût longtemps ton (mauvais) maître)

> Je sais que je suis son 'héritier'.

Ce que tu as vécu fera encore partie de toi et je vais poursuivre ses travaux. Il veut me transmettre quelque chose d'important avant de mourir. Il prononce le nom 'Théo'. je crois tout d'abord qu'il fait allusion à mon grand-père, un médecin qui portait ce prénom et qui l'aurait soigné dans sa jeunesse (rien à voir avec un grand-père réel). Je pense que c'est à cause de mon grand-père que le Maître m'a pris pour disciple.

Toutes tes règles ne sont pas mauvaises, ce qui est en toi n'est pas à jeter...

> Mais en fait ce n'est pas du tout cela. Ce 'Théo' n'est pas mon grand-père, et quant au médecin qui l'a soigné, ce n'est 'ni Théo, ni Diri

Ni le Dieu (cf Alain) ni le 'rire'? mais Pierre Janet' (je cite le vieil homme). (Psychiatre français, 1849-1947; pour ceux qui nous lisent et ne connaissent pas)

L'université, je pense que c'est le savoir que tu as acquis ces dernières semaines...

> A première vue, cette 'université' paraît chaotique, mais il y a un ordre sous-jacent et l'architecture a une certaine unité qui produit une harmonie en dépit de la profusion et de la variété des FORMES.

Les avis que tu reçois sur ce FORUM? (Re).

> La couleur dominante est le noir, un noir mat, froid à l'extérieur mais chaud à l'intérieur.

Nous sommes tous impersonnels et invisibles les uns pour les autres... mais nous sommes là!

Superbe rêve! A bientôt!

Kriss : La neige ...

Voici ce que m'inspire globalement ce rêve :

L'atmosphère est bien différente des précédents : tu es tranquille... La chatte a faim : ta féminité te parle et tu ne comprends pas bien de quoi elle a faim mais tu as entendu et accueilli la demande, la douceur pointe son nez... La neige est tombée spécialement pour toi : Bien sûr, la neige (manne céleste) est venue pour fêter ton retour dans ton pays d'enfance (pays de tes parents..) Les éléments masculins n'ont pas encore remarqué ta présence : le lien entre masculin-féminin enfance n'est pas encore établi mais tu tentes des manoeuvres d'approche, d'apprivoisement.... rêve paisible.... et aurore d'une réconciliation ????

Christian : Le crâne sur la fenêtre ... ou le retour d'Auqmn

Désolé de vous contredire les ami(e)s, mais ce rêve d'Auqmn 'Un crâne sur la fenêtre', je ne le sens pas comme vous.

Voici ma lecture.

>> Je viens d'arriver chez mes parents, en France. La nuit est tombée, je suis seule dans la maison, tranquille.

Le voilà, il est là précisément le problème d'Auqmn, dans cette solitude ! Ne dites pas que c'est une bonne chose. Il s'agit ici d'un retour à un état antérieur, celui de son enfance caractérisé par son retrait du monde (le rêve aurait pu tout aussi bien dire qu'elle est remontée sur sa montagne). La preuve c'est la neige : le monde est froid, elle est retournée dans son monde pris dans les glaces. Oui elle s'y complaît dans son monde gelé, oui elle est peinarde, mais ce n'est pas bien pour autant, cette tranquillité est malsaine.

>> J'aperçois non loin de ma fenêtre un voisin avec un jeune homme. ... Curieusement il n'y a pas de neige, mais de l'herbe, là où ils se tiennent.

Bien sûr, ils vivent eux ! Ils font la différence avec toi, Auqmn.

>> Ils ne me remarquent pas, bien que je sois très proche.

Évidemment tu es un ectoplasme, tu es là sans être là, tu es retirée dans ton monde glacé et tranquille.

>> Je saisis le crâne qui est sur mon bureau, le dépose bien en vue sur l'appui de la fenêtre et me mets en retrait.

L'image que tu donnes à voir de toi, et derrière laquelle tu te mets en retrait, c'est ce crâne. Même si pour toi, c'est 'la structure, l'essence de l'être humain, un objet esthétique et dépouillé, très évocateur, symbole de l'esprit, de la pensée', ça ne fait pas un être humain, ... ça ! Désolé de te le dire aussi brutalement !

>> Philos, la chatte de mes parents, vient miauler à mon côté. Je pense qu'elle veut me dire qu'elle a faim. Je constate qu'elle a des croquettes dans son écuelle. Je lui sers un yogourt, mais elle le dédaigne après l'avoir reniflé et s'en va.

Elle est sympathique cette chatte qui vient réclamer à manger, c'est la vie qui réclame son dû. Là je suis d'accord avec David, c'est ta féminité, ta sensibilité, ta sensualité qui veulent vivre, mais tu ne leur donnes que de la nourriture préfabriquée et du yogourt, ce qu'il lui faut à ta chatte, c'est de la chair fraîche !

>> Je suis ensuite occupée à examiner plusieurs sacs à dos. Malheureusement aucun ne me convient parfaitement. Soit la forme, soit la texture n'est pas à mon goût.

Au contraire, tant mieux, pas de bagages à trimballer qui alourdissent la marche. Surtout que toi tu as beaucoup de 'bagages' ! Tu vas devoir marcher en ne comptant que sur toi et sur tes ressources propres. C'est dans ta propre substance que tu vas devoir puiser pour faire face aux problèmes, oui tu dois être capable d'improviser et de prendre sur toi.

Ma lecture peut paraître pessimiste et démotivante. Le penser serait mal me comprendre.

La réalité du cheminement c'est qu'il n'est pas linéaire ! Tous les bons auteurs parlent de circumambulation : on se rapproche du centre en tournant autour ! C'est ce que fait Auqmn dans ce rêve, elle rumine sa situation antérieure et ses avancées, elle fait un pas en avant, elle revient en arrière, etc ...elle tourne autour du pot, et elle avance en même temps ... en spirale.

Continuons avec le deuxième rêve

>> Je suis un homme, engagé dans une carrière universitaire, et je me rends sur le lit de mort de mon 'maître'. Je sais que je suis son 'héritier' et je vais poursuivre ses travaux. Il veut me transmettre quelque chose d'important avant de mourir. Il prononce le nom 'Théo'.

C'est plutôt bien qu'il meure, Auqmn. Grâce à sa mort, tu vas accéder à la maturité. Mais, manifestement tu ne comprends pas bien son message, tu ne sais pas de quoi il te parle, de ton grand-père Théo, Dieu ? ou de Diri, le dieu qui rit ? ou Pierre Janet, la célèbre pierre ? Quoiqu'il en soit c'est quelque chose de fort.

>> Plus tard, je vois l'université d'en haut, je la survole du ciel. C'est un complexe immense et noir au milieu de la ville.

C'est ton cadre de vie actuel. Une véritable usine à gaz, mais avec sa logique interne.. Certes, bien que froid à l'extérieur, ça grouille à l'intérieur, c'est même chaud, voire chaleureux à l'intérieur. Mais c'est noir, et encore noir, pas très marrant tout ça, il manque les couleurs de la vraie vie.

Voilà les ami(e)s, vous pouvez me tomber dessus si vous n'êtes pas d'accord avec ma lecture. A vous lire.

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Commentaire de Sylvie : Ce n'est qu'un MENSONGE de plus des webmasters qui ne sont plus à ça près.. (posté le 23/12/2006 à 01h05).

http://forum.merelle.net/profile.php?1,379

Commentaire de Asuman : SGFyfkcPhxTYoiid (posté le 4/01/2013 à 09h13).

Mon grand,>> il faut que tu tiennes le coup, il faut que tu te baetts, que tu> re9agisses que tu ouvres les yeux .. tu verras des gens> formidables que tu aimes, qui t'aiment et qui t'attendent .. et tu as tant de> choses e0 leurs raconter .> Je suis la maman d'Antony, de Toulouse, e9quipage 362, et je vis ce grand malheur> qui vous a frappe9, toi et Guillaume, avec une grande peine .> e7a me touche profonde9ment >> Je t'embrasse tendrement .> A tre9s vite>> Muriel T

Commentaire de Clara : rpVUvnSFVxxN (posté le 20/10/2015 à 20h29).

Traduire est un art. Et non une technique. Traduire, c’est acce9der e0 l’universel.Re9dige9 par: mgniatonee0cheval | le 07 octobre 2007 e0 13:19(l aurait pu chiader la ponctuation le Me0C il a inte9reat e0 de9poser un copyright, bikoze tout est dit le0 et d une justesse, vinguette ! bueno ! il me semble complexe9 par son Vater (psycho de comptoir), que Me0C translation mal, j l'crois pas, na et toc too)l’espagnol e0 rien.Re9dige9 par: barry | le 07 octobre 2007 e0 18:00 Que9 tal Carmen ? fut mon 1er manuel e0 la fac ! yep ! > changer quelques manuels histoire de ne pas vamos a bailar !Pas e0 chier, ce sujet m inte9resse AU + point !!! youpi !PS : les profs retraite9s arme9s d un stylo rouge sont chillants (;-) Thierry), ont enfonce9 toute leur vie durant la teate sous l eau aux gosses now, ils la rame8nent, here ! je les imagine, le menton pointe9 e0 l avant rictus aux le8vres etc ! too funny ! laissons les vivre lol lol lol pour rien au monde, j n'irai dans les draps lavande9s A un prof exceptionnel ! virtuel, ici pre9sent aime elles (de me9moire, je t ai re9pertorie9 n langues il est vrai que tu talonnes la bonne dizaineS et toc ! na ! sont jaloux de ne pas eatre aussi e9rudits que toi, moi, j m'en fiche tu m apprends, tu m enseigne, tu chut ! e7a va aiguiser des N kiss (once more time)

Commentaire de Duna : DiMYHkXWZgzJNVzkfpE (posté le 22/10/2015 à 03h05).

Bonne anne9e je t’ai dit, apre8s que le cours s’est termine9On ne saivat pas quand nous rencontrions encore.Ne t’inquie8te pas tu m’as dit, il y aura un autre tempsNe pense pas e0 ce que ce sera, on ne saivat jamais ce qui se passerait.Exactement j’ai pense9, mais qu’est-ce qu’on va faire ces vacances ? Alors tu m’e9criras ? Je t’ai demande9Non ce n’est pas possible, tu m’as explique9.Nous sommes des amis, seulement des amisEt je te souhaite bonne anne9e, mais e7a se termine avec mes souhaites.Enfin j’ai compris qu’elle n’e9tait pas une copine, mais juste quelqu’un dans ma classe.

Commentaire de Angelita : bHWLIueyMRdIkzpyNpya (posté le 23/10/2015 à 19h15).

Une ide9e de dessin: Devant un peananu affichant les re9sultats de l e9lection un groupe de patates e0 la mine re9jouie hurlent en montrant du doigt le re9sultat de l UMP: Sarkozy JE TE VOIS Sarkozy JE TE VOIS Sarkozy JE TE VOIS re9e9lu en 2012 http://lweojscyml.com [url=http://unhesvho.com]unhesvho[/url] [link=http://ypoixsxzt.com]ypoixsxzt[/link]

Commentaire de Dwi : SYRCjYAvMYK (posté le 25/10/2015 à 17h17).

Le proble8me de ces saucissons, c est qu une fois qu on y a gofbte9, les auters paraissent tre8s fades en comparaison.Bref, je ne reave plus que d une chose de9sormais : que SaucissonSec lance un syste8me d abonnement de toute urgence, pour pallier e0 cette nouvelle addiction gourmande http://hgdfgtxw.com [url=http://olryjq.com]olryjq[/url] [link=http://yzoainzg.com]yzoainzg[/link]

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